Cosmos
D’après Witold Gombrowicz, ms Jacques Osinski, 1h30, dès 12 ans
D’après Witold Gombrowicz, ms Jacques Osinski, 1h30, dès 12 ans
Samuel Beckett
Denis Lavant / Jacques Osinski
De Sara Stridsberg, ms Jacques Osinski, coproduction MC2. Avec Caroline Chaniolleau, Grétel Delattre, Noémie Develay-Ressiguier...
Médée est une femme seule, étrangère, sans papiers, aux prises avec le prosaïsme de l'administration, l'égoïsme ordinaire. Elle est internée aux urgences psychiatriques d'un hôpital...
Spectacle musical. Direction musicale : Marc Minkowski - MDLG. Mise en scène : Jacques Osinski - CDNA. Chorégraphie : Jean-Claude Gallotta - CCNG. Prog : Igor Stravinsky. Avec Olivia Ruiz. L’Histoire du soldat, texte de Charles-Ferdinand Ramuz ; Manuel de Falla El Amor brujo, suite de ballet avec chant, argument de Gregorio Martínez Sierra
D’Ödön von Horváth, traduction de René Zahnd et d’Hélène Mauler, ms Jacques Osinski. Don Juan a perdu de sa superbe. Au sortir de l’horreur de la guerre de 1914 -1918, l’homme est fatigué. Il va son chemin dans une Allemagne aux prises avec la crise, à la recherche de la fiancée qu’il a jadis abandonnée. Elle est morte. Il l’ignore. Et chaque femme qu’il rencontre est comme une facette de cet idéal perdu. En 1935, alors qu’Hitler est au pouvoir, Ödön von Horváth se retourne sur le passé tout proche de l’Allemagne, le moment où "toutes les valeurs ont été bousculées", l’époque où, au lendemain de la guerre, le pays, déboussolé, tente de renaître de ses cendres dans le tourbillon de l’inflation.
De Blandine Costaz, lecture dirigée par Jacques Osinski
Rendez-vous avec le théâtre contemporain. "Naissance d'un pays"
de Aiat Fayez, lecture dirigée par Jacques Osinski
Intervention de Mathilde Dubesset, historienne ("La création artistique du côté des femmes : une hsitoire redécouverte") + témoignages de membres (Jacques Osinski (directeur du CDNA), Vincent Villenave (directeur de l'Heure bleue), Emmanuelle Bibard (directrice de l'Amphithéâtre) + Performances musicales : Katia Boutchoueva (slameuse) + Yi Pin Yang (percussionniste)
Texte d'August Strindberg, ms Jacques Osinski
C’est une maison calme où cependant la vie bruit dans les recoins. Ses habitants l’appellent « la maison du silence ». Dans la cour vit un pâtissier tranquille et malchanceux. À l’entresol, l’appartement de Monsieur n’a pas bougé depuis des années : autrefois Monsieur a épousé une femme plus jeune que lui. Mais, craignant la différence d’âge, il l’a quittée. Désormais il vit avec son frère, le Consul, et Louise, une parente qui les sert. Il cultive ses fleurs comme il cultive ses souvenirs. Cependant, à l’étage du dessus, une lumière transperce derrière des rideaux rouges.
Texte de Molière, ms Jacques Osinski
Paysan enrichi, George Dandin possédait tout. Pour son malheur, il a voulu plus : devenir Monsieur de la Dandinière. Aussi a-t-il épousé la jeune Angélique, issue de la noblesse campagnarde. Le voici malmené par une femme qui se joue de lui à plaisir et par des beaux-parents qui ne veulent rien entendre, les inénarrables Monsieur et Madame de Sotenville. En proie à la jalousie, voulant à toute force prouver l’infidélité de sa femme, Dandin ne trouve personne à qui parler, personne pour le croire et l’écouter
De Dennis Kelly, ms Jacques Osinski.
Création/Théâtre à partir de 7 ans, ms Jacques Osinski, texte Dennis Kelly. Comment 2 garnements se débarrassent de leur directeur d’école, un Tröll qui ne sait que rugir et manger les enfants
Texte de Georg Büchner, ms Jacques Osinski
Un soldat qui, fou d’amour ou de solitude (à moins qu’il ne soit fou tout court) tue un jour, presque sans y prendre garde, sa bien-aimée, Marie. L’histoire d’une solitude. La pièce semble toucher à ce qu’il y a de plus enfoui dans l’humanité, révéler des vérités cachées
Texte de Wolfgang Borchert, ms Jacques Osinski
Témoignage âpre teinté d’humour noir, l’errance du soldat Beckmann dit la fin d’un monde. De retour du front, Beckmann frappe aux portes. Mais personne n’est là pour l’accueillir. Ses parents ont disparu. Sa femme l’a remplacé. Les gens veulent oublier ce qui s’est passé. Personne ne tient à entendre ce qu’il a à dire. Mémoire vivante de l’horreur, Beckmann erre, étranger, dans un monde qui fut autrefois le sien, un monde qui refuse de le reconnaître et que lui-même ne reconnaît plus
Texte d’Anton Tchekhov, ms Jacques Osinski
Jeune homme, Ivanov a cru pouvoir aimer, changer les choses. Mais il a maintenant trente-cinq ans. Criblé de dettes, il est marié à Anna Petrovna, une femme malade, qu’il n’aime plus. Autour de lui, personne à qui parler : Borkine est un homme d’action vulgaire, le comte Chabelski vit hors de la réalité, Lvov, jeune médecin, est terriblement dans la norme. Bien sûr, il y a la jeune Sacha, la fille des riches Lebedev. Elle voit en Ivanov un grand homme
Comédie dramatique de Marius von Mayenburg, trad. Hélène Mauler et René Zahnd, ms Jacques Osinski. Lette est moche. Cela n’échappe à personne, sauf à lui curieusement. Il est « moche », « très très moche », « incroyablement moche ». Les adverbes se bousculent auprès de ce visage inimaginable que sa femme, elle-même, ne regarde que dans l’oeil gauche
articles publi-rédactionnels
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